La prune, une saison 2023 haute en couleurs !

Parce que nous sommes convaincus que manger sainement et se faire plaisir ne devrait pas être un luxe inaccessible, mais plutôt une priorité accessible à tous, nous invitons chacun à nous rejoindre tout au long de l'été et à découvrir nos recettes exclusives. Que ce soit pour le petit-déjeuner, le déjeuner, le dîner ou même les collations, vous trouverez des inspirations variées et abordables. Soyez prêt(e) à vous régaler avec des recettes, concoctées avec soin sous le #aopnprune, #legoutatoutprix

Découvrez la recette de la prune caramélisée du chef Frank Renimel à la fin du reportage.

 
 

Recette de Sorbets maison aux prunes rouges 2€ par personne.

et prunes jaunes 🍨 pour 4 personnes

par @cutie_honey_vivi

Ingrédients :

  • 500g de prunes dénoyautées

  • 50g d’eau

  • 50g de sucre

  • 25g de sirop de glucose

Instructions :

  • Porter à ébullition l’eau, le sucre et le sirop de glucose, ôter du feu et laisser revenir à température ambiante.

    À l’aide d’un mixeur, réduire les prunes en purée, filtrer les peaux et mélanger avec le mix d’eau.

    Placer au frais une journée ou une nuit jusqu’à ce que le mélange descende à environ 4° degrés. Turbiner durant 15mn. Déguster ou placer au congélateur.



Retour sur la saison 2022.

Récolte AOPN PRUNE 2022

Jusqu'à la fin de l'été, les prunes nous régalent!…Lire l’article.

Coup d’envoi des récoltes pour la Reine-Claude Label Rouge…Lire l’article.

Les belles Reine-Claude en direct de Carennac…En vidéo

La prunelles dans les vergers…Lire l’article.

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Rouge, verte, jaune, bleue la AOPN prune vous invite, cette année, à découvrir toute ses variétés ! Sucré et salé, et à profiter de toutes ses vertus énergisantes avec les recettes créées par la cheffe Agathe MOLIS.

Le saviez-vous ? Malgré sa saveur sucrée, la prune reste faible en calories. Généreuse en vitamines et en minéraux, elle contribue à couvrir nos besoins nutritionnels quotidiens. Elle est également bien pourvue en fibres et en sorbitol.

• Calories (Kcal pour 100 g) : 48,7

• Protéines (g pour 100 g) : 0,66

• Glucides (g pour 100 g) : 9,41

• Lipides (g pour 100 g) : 0,29

• Vitamine C (mg pour 100 g) : 7,25

• Bêta-carotène (µg pour 100 g) : 190

• Vitamine B9 (µg pour 100 g) : 4



En directe des vergers avec Jérôme Capel et Laura Calu.

Les pruniculteurs sont engagés depuis de nombreuses années dans l’amélioration de leurs pratiques au quotidien. L’avancée des techniques dites au départ alternatives pour limiter l’utilisation de certains produits, ou réduire l’utilisation de l’eau dans les vergers s’est peu à peu démocratisée. Des expérimentations à petite, puis à grande échelle ont permis de rendre accessible des techniques au départ plus confidentielles.

Le développement du bio, de l’agriculture raisonnée, l’arrivée de nouvelles technologies, de techniques de précisions ont également permis des avancées considérables en terme de nature et dosage de produits ou d’efficacité de certains pratiques ou l’abandon de certaines dont les bénéfices coût et prise en compte de l’environnement n’étaient plus au rendez vous.

Ainsi,  depuis l’apparition des premiers concepts autour de la prise en compte de l’environnement dans les années 1970 à nos jours, les vergers n’ont eu de cesse de s’adapter, évoluer, innover pour prendre en compte les différents enjeux de durabilité : économique, sociétal et environnemental.

Si la filière prune a depuis quelques années su démontrer tout le travail réalisé pour apporter la satisfaction des consommateurs en terme de goût, de saveur et de diversités de prunes, le consommateur souhaite plus d’informations, plus de transparence sur les pratiques dans les vergers.

Les pruniculteurs sont prêts à relever ce défi de la communication sur leurs pratiques au quotidien, montrant l’ensemble des adaptations en cours et des enjeux collectifs pour répondre aux enjeux environnementaux.

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La prune, cueillez-la aussi sur Instagram.

 
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#quimieuxquenous pour loger les insectes ?

Autour de nos vergers, les haies, plantées de générations en générations, ou pour certaines plus récemment ont un rôle important pour la qualité de nos fruits : obstacle naturel du vent, des intempéries, elles sont aussi le lieu de vie de nombreux êtres vivants, divers et variés. Certains consomment des insectes qui font des dégâts sur nos fruits. Nous appelons cela des auxiliaires de culture. Comme les auxiliaires de vie aident les personnes fragilisées dans leur quotidien, leur rôle est par leur simple présence, par ce qu’ils mangent, de créer un écosystème favorable à l‘épanouissement de nos fruits.

C’est pourquoi, dans nos vergers naissent de plus en plus de drôles d’habitations, pour favoriser la présence de ces auxiliaires, nous devenons, en plus d’être  des producteurs de prunes, des bâtisseurs d’hôtels, des hôtels à insectes.

Et vous y dormiriez vous ?


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 #quimieuxquenous pour protèger les abeilles ?

La pollinisation est un moment fort et indispensable pour produire de belles prunes en quantité.

La pollinisation est réalisée par des insectes pollinisateurs, comme les abeilles. Ainsi, depuis de nombreuses années, les pruniculteurs travaillent en partenariat avec des apiculteurs en déplaçant dans les vergers des ruches au moment de la floraison du verger. Ainsi, les abeilles ont de quoi manger, notamment avec le nectar des fleurs de pruniers, et assurent en même temps la pollinisation des fleurs. En effet, en butinant de fleurs en fleurs, l’abeille transporte également le pollen présent sur les étamines des fleurs et le dépose sur d’autres fleurs.

 Pour obtenir une pollinisation la plus efficace, les pruniers ont besoin de 5 à 6 ruches par hectare. En pratique, les pruniculteurs demandent ce travail à des abeilles domestiques mais également à des colonies de bourdons sauvages. Ceci a une raison extrêmement simple. La période de floraison est relativement courte, et le travail de pollinisation doit être réalisé par tous les temps. Or, l’abeille ne travaille que quand il fait beau, contrairement au bourdon, qui lui reste imperturbable malgré les intempéries.


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#quimieuxquenous pour connaître la valeur de l’eau ?

 La gestion de l'eau en verger d'arbres fruitiers est cruciale pour pérenniser une production satisfaisante en quantité et en qualité. Elle a également des effets notables sur les infestations et infections par les bio-agresseurs.

Les modèles climatiques actuels prévoient pour les décennies à venir une hausse des températures moyennes mais également une augmentation de la fréquence des épisodes de chaleur couplés à des périodes de sècheresse ( www.ipcc.ch). Bien gérer les ressources en eau dans le temps et l’espace,  et repenser l’utilisation de l’eau en agriculture est un enjeu sur lequel les pruniculteurs travaillent depuis de longue année.


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#quimieuxquenous pour pratiquer le traitement non automatique des vergers ?

Tout le monde a en tête le slogan les antibiotiques, c’est pas automatique ; Ce slogan s’applique à merveille à l’utilisation de traitement de protection des vergers à l’heure actuelle.

A l’heure actuelle, les conduites de verger sont beaucoup plus diversifiés et font appel, à une palette très large de solutions au quotidien pour ne traiter qu’en dernier recours.

Ainsi, de systèmes de lutte systématique avec l’utilisation de produits de protection des vergers ; les pruniculteurs ont progressivement intégré dans leurs pratiques les principes de l’agriculture raisonnée avec une optimisation de leurs usages. De multiples outils d’aide à la décision ont ainsi été mis en place par les techniciens de suivi des vergers, permettant de créer des seuils d’alertes de nuisibilité économique et une gestion la plus optimale possible du traitement.

La Prune, c’est bon pour se faire plaisir, mais aussi pour :

La France produit en moyenne 65000 tonnes de prunes chaque année.

 

La France est le troisième producteur européen de prunes. L’Hexagone se divise en trois grands bassins de production :
- Le Sud-Ouest, qui est le principal producteur de prunes (environ 50 %) avec une gamme très large de choix, allant de la Reine-Claude aux variétés américano-japonaises ;
- L’Est, qui produit exclusivement la Mirabelle et la Quetsche et représente 20 % de la production française de prunes ;
- Le Sud-Est, qui représente pour sa part 15 % de la production de différentes variétés.

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Les Producteurs

La majorité des producteurs de prunes sont regroupés au sein de l’AOPn (Association d’Organisations de Producteurs nationale) qui joue un rôle de préservation et d’innovation dans les vergers. Créée en janvier 2009, l’AOPn Prune regroupe 330 producteurs, 10 expéditeurs et 13 organisations de producteurs français au sein de la même structure.

Leurs objectifs :

- promouvoir la production de ce fruit et dynamiser sa consommation ;

- préserver la biodiversité des variétés historiques, améliorer la qualité des vergers ;

- développer l’innovation en cultivant de nouvelles variétés.

Les producteurs de l’Association représentent plus de 50 % de la production nationale de prunes.


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